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2021
Dorothée Catoen-Cooche, direction

Pierre Jean Jouve - Dans l'atelier de l'écrivain

Hermann/Vertige de la langue


Pierre Jean Jouve - Dans l'atelier de l'écrivain
Présentation

Ressources de cette page

 

Pour des écrivains et des artistes d’hier et d’aujourd’hui, Pierre Jean Jouve reste une référence privilégiée. Quelles leçons ce grand écrivain, romancier, poète, musicologue, critique et traducteur nous a-t-il léguées ?

« L’atelier » d’un artiste n’est-il pas un lieu qu’il est indispensable d’explorer ? C’est cette visite que se propose de présenter cet ouvrage, issu d’une manifestation scientifique internationale qui eut lieu en mars 2018 à l'université d'Artois. A travers 23 contributions d'enseignants-chercheurs, mais aussi de poètes et d'artistes, sont abordés 5 thèmes principaux qui permettent de à mettre en lumière l’importance de cet écrivain qui apparaît non seulement comme l’un des pères fondateurs de la poésie contemporaine, mais aussi comme un précurseur dans l’art du roman moderne et de la critique d’art.

540 p., 39 €, ISBN : 9791037008435

Lien avec l'éditeur


Annonce sur Fabula


Le Colloque international d'Arras : Pierre Jean Jouve : dans l'atelier de l'écrivain des  21, 22 et 23 mars 2019 et l'édition des Actes ont reçu le soutien de l'Université d'Artois (Laboratoire Textes et Cultures), de l'Université Côte d'Azur (Centre Transdisciplinaire d’Épistémologie de la Littérature et des arts vivants, CTEL), de l'Université catholique de Louvain (Institut des Civilisations, Arts et Lettres, INCAL) et de la Société des lecteurs de Pierre Jean Jouve.



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Introduction




Dans l’atelier de Pierre Jean Jouve

Pour des écrivains et des artistes d’hier et d’aujourd’hui, Pierre Jean Jouve reste une référence privilégiée. Quelles leçons ce grand écrivain, romancier, poète, musicologue, critique et traducteur nous a-t-il léguées ? « L’atelier » d’un artiste n’est-il pas un lieu qu’il est indispensable d’explorer ? C’est cette visite que se propose de présenter cet ouvrage issu d’une manifestation scientifique internationale.


1. Qu’est-ce qu’un atelier ?

D’abord quelques prolégomènes semblent nécessaires pour tenter de cerner la notion d’« atelier » et le choix de ce titre. Dans son acception courante au XIVe siècle, l’« atelier » désigne le lieu où s'exécutent des travaux manuels, en particulier d'art, peintures, sculptures, et, par extension depuis le XIXe siècle, le lieu où s'élabore une œuvre. Adjoindre ce mot à la figure littéraire de Jouve convie à se souvenir d’abord de l’acception de l’art littéraire que l’écrivain donne en ouverture de son texte réflexif En miroir, celle-ci permettant d’insister sur une création concrète et en acte :

Poésie, art de « faire ». Selon cette définition qui remonte à la science des Anciens, la Poésie tient sous son influence, par rayons droits ou obliques, tous les autres arts de l’homme. Faire veut dire : enfanter, donner l’être, produire ce qui, antérieurement à l’acte, n’était pas. (EM, 1055)

Pour Jouve, on le sait, la poésie est le sommet des arts, et cette suprématie repose sur ce qu’il nomme « le pouvoir occulte du mot à créer la chose » (id., 1056). L’objet d’étude que nous proposons ici semble ainsi nous placer en situation d’insoumission à l’égard de notre auteur, qui estime que sur cette puissance logocentrique, nous n’avons pas à lever le voile :

Il n’y a pas de poésie s’il n’y a pas d’absolue création, et […] tout autour de cette création comme un nimbe permanent, le mystère doit demeurer. Création et mystère forment le trésor de Poésie. (ibid.)

On pourrait comprendre cette allégation en surface, y voir une coquetterie de l’auteur, qui d’un côté revendique le secret comme l’essence même de son art, alors que par ailleurs il se plaint volontiers du silence critique dans lequel son œuvre est tenue. Mais ne nous méprenons pas : plus profondément, si nous suggérons de fréquenter l’atelier de Jouve, c’est pour approcher les processus créateurs de cette écriture, cerner l’importance du mystère au fondement de cette poésie, non tant énigme à lever qu’alchimie verbale dont il faut observer les effets.

Et en ce sens, Jouve nous précède. Il a lui-même livré plusieurs réflexions sur son art dans l’Apologie du poète et dans son Journal sans date et il a fortement insisté sur la dureté du travail qu’exigeait le faire poétique. Rappelons-nous :

J’écris depuis vingt-cinq ans des poèmes et je vis pour ce grand effort. Que vois-je en moi-même ? Que puis-je saisir des mécanismes qui me font écrire, et comment puis-je, en m’éclairant sur moi-même, éclairer aussi les autres ? (AP, 1182)


Le travail a toujours été d’une grande dureté […] Les divers recours tentés pour unifier et réconcilier, par pleine conscience et espérance, le poète avec lui-même, ont constamment échoué […] Le seul recours efficace fut dans le travail. Je me suis interdit toute dépense en dehors du travail. (EM, 1082. C’est l’auteur qui souligne)


Si l’on croit ce que nous confie Jouve, dans son atelier poétique, il se serait donc penché d’abord sur ses propres manques et ses motivations pour les déplier, les éclairer voire les expliciter. Sous cet angle, sa réflexion rejoint celle de Francis Ponge qui donne un sens très pragmatique à la notion d’atelier et y voit une fonction fort claire, celle de l’artiste se devant d’ouvrir un atelier pour y prendre en réparation le monde, par fragments. On trouve là l’intuition qui suggérera à Alexandre Gefen le titre Réparer le monde pour son essai sur La littérature française face au XXIe siècle1. Nous pouvons ajouter à notre réflexion quelques pistes ouvertes par Jérome Thélot sur l’atelier des poètes, et par René Passeron, qui a déjà étudié ce lieu mystérieux. Pour Jérôme Thélot, en effet, le travail vivant de la poésie est constitué par une « résistance aux représentations précomprises dans les signifiés établis, et l’ouverture consécutive de l’esprit à d’autres possibilités que celles du monde connu2 ». Il nous semble que l’atelier est précisément cet espace-temps spécifique qui favorise la faculté du poète à faire advenir dans la langue ce qui ne lui pré-existait pas. Comme le rappelle René Passeron, « l’art est un phénomène d’atelier avant d’être un phénomène de galerie3 ». La forme de cette émergence inédite doit cependant rester transmissible, communicable, partageable, permettant d’éveiller le lecteur, lui qui reste l’horizon de tout processus d’écriture.

Dans un même esprit, remontant aux sources de ce colloque, qu’il soit ici rendu hommage à Lakis Proguidis, qui fut l’un des premiers à souhaiter un dialogue installé dans « l’atelier » de Pierre Jean Jouve. En effet, fidèle à sa démarche d’écrivain, essayiste et directeur de la revue l’Atelier du roman, après les échanges ouverts dans le n°56 de sa revue, il a souhaité vivement les voir se prolonger autour de ce thème, si riche et fondateur pour lui4.

La voix des poètes et des chercheurs, en écho à la voix de Jouve

Le colloque d’Arras de mars 2019 avait donc pour ambition d’éclairer ce creuset où l’informe prend forme, en mettant l’accent sur le faire, sur la recherche solitaire, mais aussi sur le compagnonnage au sein de l’espace de travail. Le poète ne refait jamais le monde seul. Il marche dans les pas de prédécesseurs qui l’orientent, et il vit entouré par des camarades d’atelier. En un mot il existe au sein de ce que Dominique Maingueneau appelle « sa tribu invisible5 » de créateurs.

La communauté des « Jouviens » s’est réunie pour que chacun, poète, artiste, critique, historien ou essayiste, puisse apporter sa pierre à l’édifice, que ce soit par une contribution scientifique ou par un geste créateur. Les communicants étaient venus de France, de Belgique, de Tunisie, mais aussi des États-Unis, témoignage de la vitalité de l’œuvre de Jouve. Des poètes – Jacques Darras, Béatrice Bonhomme, François Lallier et Philippe Raymond-Thimonga – ont fait entendre leurs voix à travers des lectures auxquelles se sont associés plusieurs étudiants-comédiens de l’université d’Artois. Le plasticien Serge Popoff a exposé une trentaine d’œuvres en lien direct avec l’écriture du romancier-poète, complétant ainsi l’atelier par une incursion dans le monde d’un graveur. L’événement, traitant de plusieurs genres (poétiques, narratifs, autobiographiques, scéniques…) pratiqués par Jouve, a permis de croiser de multiples approches : la critique littéraire, musicale ou picturale, en adoptant des perspectives ouvertes et variées pour constituer une étude d’ensemble à la fois formelle, textuelle, stylistique et comparatiste.


2. Les « matériaux » en œuvre dans l’atelier de Jouve

La première section est consacrée aux « alliés substantiels » de Jouve. Anis Nouairi nous montre comment le langage de Jouve devient parfois métalangage, la parole poétique cherchant alors, de façon réflexive, à se redéfinir, mais à partir d’un retour sur le travail baudelairien. Jacques Darras se penche sur l’évolution de l’écriture jouvienne d’après la Vita Nuova, mettant ainsi en valeur le passage du Jouve « whitmanien » (celui de la première guerre mondiale) au Jouve symboliste, qui a choisi comme nouveaux maîtres Baudelaire, Rimbaud, Mallarmé et les grands mystiques. Marie Étienne retourne à celle qui a généré l’œuvre, qui l’a accompagnée sans l’écrire, cette célèbre « Dame Blanche », Blanche Reverchon aux multiples facettes. Historien de l’art, Pierre-Marie Deparis propose de revenir sur une des grandes amitiés artistiques de Jouve, celle qu’il a entretenue avec le peintre Henri Le Fauconnier. Enfin, Philippe Raymond-Thimonga, reliant approche scientifique et écriture artistique, scrute la présence de Dieu dans l’atelier jouvien, tout en mettant en lumière au premier plan de son étude la modernité littéraire du romancier-poète.

La seconde section permet de pénétrer davantage dans l’intériorité d’un être et, par glissement, d’une écriture : Béatrice Bonhomme revient sur les marques laissées par une enfance, ressurgissant à la faveur de situations, de personnages romanesques et permettant de fédérer la parole poétique. L’article d’Éric Dazzan s’inscrit dans une perspective analogue en considérant la figure du père qui « hante » les souvenirs de l’auteur, comme son écriture. Machteld Castelein complète l’examen de la mythologie de Jouve en mettant en valeur les « matériaux de démolition » qui constituent selon elle les racines du singulier recueil Histoires sanglantes. Ce sont d’autres types de « matériaux » qui enrichissent l’atelier de l’auteur qu’étudie Marie Joqueviel-Bourjea, nous présentant différents lieux, qu’ils soient réels, symboliques ou poétiques


3. Rencontres, dialogues, sacra conversazione et disputatio : certains aspects méconnus de l’œuvre de Jouve

Le terme d’« atelier » désigne également un collectif de collaborateurs, d’aides ou de disciples, « travaillant sous la direction d'un maître », aussi la troisième section est-elle consacrée aux influences fondatrices de Jouve sur des poètes contemporains comme Jacques Roubaud évoqué par Marie-Antoinette Bissay ou Bernard Vargaftig par Aaron Prevots. Françoise Servan-Renucci met en valeur l’influence du romancier-poète sur un artiste contemporain, le chanteur-auteur H.F. Thièfaine. Laura Mainguy nous invite à élargir ce champ des rencontres : elle montre combien l’œuvre jouvienne est venue irriguer les écrits du poète italien Giorgio Caproni. Tout cela témoigne que Pierre Jean Jouve bénéficie d’une postérité intellectuelle et poétique encore trop méconnue.

La quatrième section de cet ouvrage s’attelle à faire la lumière sur une facette peu étudiée, jusqu’ici, de Jouve : celle de l’artisan. Tess Grousson met ainsi en valeur un Jouve horticulteur de l’écriture, tandis que Myriam Watthee-Delmotte nous fait découvrir Jouve comme un « artisan de l’impossible », en s’appuyant sur le genre narratif. Tristan Hordé se propose, quant à lui, de revenir sur les différents arts qui ont inspiré, influencé ou dirigé les écrits poétiques jouviens. Mais il s’agit également, dans cette partie, de mettre en avant les matières premières de ce « fabricant » si singulier. C’est l’objet du travail de François Lallier qui revient sur la figure d’Isis, puissante clé de lecture pour la dernière partie de l’œuvre poétique de Jouve. Dans une optique similaire, Katherine Rondou s’intéresse aux représentations de Marie-Madeleine et montre qu’un grand nombre de thèmes typiquement jouviens sont en lien direct avec l’image de la pécheresse repentie.

La dernière section de ce recueil explore ce que Jouve a, semble-t-il, souhaité dissimuler et/ou ce qu’il a plus ou moins passé sous silence. Les deux premiers articles abordent un genre qui passionnait l’auteur, mais dans lequel il n’a guère rencontré de succès, le théâtre. Jérémie Berton revient sur Les Deux Forces, tandis que Dorothée Catoen-Cooche étudie deux pièces encore inédites, Le Soleil sur la Cueille et L’Illuminée, textes que Jouve a reniés lors de sa Vita Nuova. Jean-Paul Louis-Lambert développe une « fiction-détective » où il revient sur les figures féminines mythiques de Jouve à la lumière de célèbres textes d’André Breton. Enfin, Géraldine Lombard nous livre ses recherches généalogiques sur la famille de l’auteur, recherches qui donnent à l’œuvre un nouvel éclairage.

Cette manifestation scientifique arrageoise a donné l’occasion à la communauté jouvienne de se réunir une nouvelle fois, ce qui ne s’était plus produit depuis 2012. Elle a ainsi permis des échanges aussi passionnants que chaleureux. Jouve est un auteur qui réserve toujours des surprises : la vaste matière qu’il nous a léguée reste inépuisable, et les études qu’elle exige révèlent des strates profondes. Le présent ouvrage ne constitue certes pas un aboutissement. Il ne s’agit pas pour nous d’achever mais d’ouvrir et de fédérer. C’est une nouvelle étape de notre travail, un jalon de plus dans les « jouveries » (l’expression est de Jacques Darras). La communauté jouvienne souhaite engager un travail collectif afin de permettre à cet auteur de trouver sa juste place dans les histoires littéraires à plus grande diffusion, et, pourquoi pas, dans les sujets de concours. C’est pourquoi ils souhaitent poursuivre leur enquête et continuer à mettre en lumière l’importance de cet écrivain qui apparaît non seulement comme l’un des pères fondateurs de la poésie contemporaine, mais aussi comme un précurseur dans l’art du roman moderne et de la critique d’art.

Dorothée Catoen-Cooche, Béatrice Bonhomme,

Myriam Watthee-Delmotte et Jean-Paul Louis-Lambert.

Avec la collaboration de Philippe Raymond-Thimonga


1 GEFEN Alexandre, Réparer le monde. La littérature française face au XXIe siècle, Paris, Corti, 2018.
2 THÉLOT Jérôme, Le Travail vivant de la poésie, Paris, Les Belles Lettres, coll. « Encre marine », 2013, p. 34.
3 PASSERON René, Conférence du 4 Mai 2007 à l’École Supérieure d’Audio-Visuel de Toulouse citée dans SAULE Peggy, « L’atelier poétique », Entrelacs [Online], 7 | 2009, URL : http://journals.openedition.org/entrelacs/187 ; DOI : 10.4000/entrelacs, p. 187.
4 PROGUIDIS Lakis (dir.), « Pierre Jean Jouve : voyage au bout de la psyché » in L'Atelier du roman n° 56, 2008.
5 MAINGENEAU Dominique, Le Discours littéraire. Paratopie et scène d’énonciation, Paris, Armand Colin, 2004, p. 75.


Pierre Jean Jouve - Dans l'atelier de écrivain




Sommaire 



 Avant-propos : Dans l’Atelier de Pierre Jean Jouve

Par Dorothée Catoen-Cooche, Béatrice Bonhomme, Myriam Watthee-Delmotte, Jean-Paul Louis-Lambert, avec la collaboration de Philippe Raymond-Thimonga


Première partie : Pierre Jean Jouve et ses « alliés substantiels » :

I. Dans l’atelier du faussaire, Anis Nouaïri

II. De Whitman à Jouve et au-delà, Jacques Darras

III. La Dame blanche, variations, Marie Étienne

IV. Deux portraits de Pierre Jean Jouve par Henri Le Fauconnier (1881-1946) : au miroir d’une amitié dorée, Pierre-Marie Deparis

V. Modernité littéraire et présence de Dieu chez Jouve, Philippe Raymond-Thimonga


Deuxième partie : Dans l’intériorité d’un être et d’une écriture :

VI. Enfances Jouviennes entre ombre et lumière, Béatrice Bonhomme

VII. La figure du père dans l’œuvre (poétique) de Pierre Jean Jouve,Éric Dazzan

VIII. Matériaux de déconstruction dans Histoires sanglantes, Machteld Castelein

IX. « …on descend […] vers l’atelier où cristallise l’écriture… » Lieux de l’atelier chez Pierre Jean Jouve, Marie Joqueviel-Bourjea

Troisième partie : Les rencontres d’hier et d’aujourd’hui

X. Pierre Jean Jouve et Jacques Roubaud, dans l’atelier d’une surprenante rencontre octogonale, Marie-Antoinette Bissay

XI. Pierre Jean Jouve et Bernard Vargaftig : tremblement et nudité du dire, Aaron Prévots

XII. « un sentiment mélancolique de paradis perdu » : présence de Pierre Jean Jouve dans le discours poétique de H.F. Thièfaine, Françoise Salvan-Renucci

XIII. Giorgio Caproni, Lecteur de Pierre Jean Jouve, Laura Mainguy

Quatrième partie : L’homme et l’art

XIV. Jouve horticulteur : la main, la palme et les « fausses fleurs de l’art », Tess Grousson

XV. Jouve, artisan de l’impossible, Myriam Watthee-Delmotte

XVI. Jouve, en miroir : notes sur la poésie, Tristan Hordé

XVII. Isis et la musique, François Lallier

XVIII. Représentations de sainte Marie-Madeleine dans l’œuvre de Pierre Jean Jouve, Katherine Rondou

Cinquième partie : En périphérie des œuvres

XIX. Peut-on parler d’un théâtre de Pierre Jean Jouve ?, Jérémie Berton

XX. Le théâtre jouvien : les prémisses d’une œuvre en devenir,Dorothée Catoen-Cooche

XXI. Rencontres dans les carrefours avec Nadja et Claire. Une fiction détective dont Pierre Jean Jouve et André Breton sont les héros. Première époque (1911-1928). « Et sauf un petit nombre de pièces... » (Deuxième partie), Jean-Paul Louis-Lambert

XXII. Recherches généalogiques sur Pierre Jean Jouve : une famille de commerçants, notaires et médecins, Géraldine Lombard

Présentation des contributeurs

Table des illustrations

Remerciements





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Dernière mise à jour : 29 juin 2021

Première mise en ligne : 10 juin 2021