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Cahiers Pierre Jean Jouve

N° 1 - 2009

Jouve Poète européen

Cahier Jouve - Calliopées - No 1 - 2009 - Couverture

Editions Calliopées

e-Librairie des éditions calliopées

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Sommaire

Couverture
I.Actualité de Pierre Jean Jouve 15

Préface par Béatrice Bonhomme et Jean-Yves Masson

II.Présence de Pierre Jean Jouve

Dessins de Serge Popoff 69
III.Notes de lecture85
IV.Cahier de contributions critiques99

4ème de couverture

Couverture

Cahier Jouve - No 1 - 2009 - CouvertureCahiers Pierre Jean Jouve

N° 1 - 2009

Jouve Poète européen

Editions Calliopée

Table des matières

Présentation sur la revue en ligne Loxias.
Remerciements7
Notice12
Préface par Béatrice Bonhomme et Jean Yves Masson 13
Préface

Nous avons choisi de travailler sur Pierre Jean Jouve et ses liens à la poésie européenne, aussi bien pour aborder son œuvre de traducteur que pour rendre compte de ses relations avec quelques-unes des grandes figures de l’Europe littéraire de son temps ou d’époques antérieures. Il nous est apparu, en effet, essentiel d’ouvrir l’oeuvre de Jouve à des perspectives comparatistes et c’est la raison pour laquelle cette publication est volontairement placée sous le signe de la littérature comparée afin de mieux mettre en évidence la dimension européenne de l’œuvre jouvienne. La première partie de l’ouvrage est consacrée à l’actualité de Pierre Jean Jouve à travers le témoignage sensible de poètes contemporains, cette présence créative étant également soulignée par les interventions plastiques de Serge Popoff en deuxième partie. Un troisième temps laisse place à des notes de lecture sur les dernières parutions consacrées à Jouve. Enfin un cahier de contributions critiques permet de s’ouvrir à une intertextualité européenne, plus particulièrement italienne en dernière séquence.

 Béatrice Bonhomme et Jean-Yves Masson



I.

Actualité de Pierre Jean Jouve

15

Christian Hubin,
    Qui ne répond à rien
17

Paul Godard,
    Jouve, une pérennité
19

Heather Dohollau,
    Jouve et le Matin des Oiseaux
23

James Sacré,
    Matière : un mal être émerveillé
31

Alain Suied,
    L’écriture de la chair
35

Jacques Ancet,
    Jouve « inactuel »
37

Lorand Gaspar,
    Jouve m’a accompagné
39

Olivier Apert,
    Pourquoi je n’écris pas (sur) Pierre Jean Jouve
41

Marie Étienne,
    Ce que je suis
45

Claude Louis-Combet,
    La grandeur de l’œuvre de Jouve
49

Jean-Paul Gavard-Perret,
    Jouve, la vision de la femme
53

Jehan Despert,
    Vous avez dit Jouve ?
57

Thérèse Dufresne,
    Paulina 1880 - L’amour : la liberté, un corps à corps avec la religion
63

II.

Présence de Pierre Jean Jouve



Dessins de Serge Popoff 69

III.

Notes de lectures



Laurence Teper,
    Relectures de Pierre Jean Jouve, I et II
87

Muriel Pic,
    La Revue des Lettres Modernes
89

Jérémie Berton,
    Benoît Conort, Mourir en poésie
93

Jean-Paul Louis-Lambert,
    Pierre Jean Jouve, Lettres à Jean Paulhan, 1925-1961
95

Béatrice Bonhomme et Jean-Paul Louis-Lambert,
    Wanda Rupolo, Pierre Jean Jouve et l’Italie, une rencontre passionnée
97

IV.

Cahier de contributions critiques

99

Muriel Pic,
    La traduction des mystiques et l’écriture de l’intraduisible
101

Jérémie Berton,
    Le Combat de Tancrède et Clorinde de Pierre Jean Jouve :
    réécriture ou transposition ?
117

Natacha Lafond,
    Nerval et Berg dans le lyrisme jouvien. « Mémoires » (1909) et Debussy, Poésie X-XI (1956-1966),  Derniers écrits (1974-1976)
131

Christiane Blot-Labarrère,
    Présence de l’Autriche chez Pierre Jean Jouve.  Autour d’Hécate
145

Léa Coscioli,
    Quelques points de rencontre entre Pierre Jean Jouve et Freud
153

Caroline Andriot-Saillant,
    « Avec humilité » écrit le poète dément : la référence commune
    à Hölderlin chez Pierre Jean Jouve et David Gascoyne
163

Laure Himy-Piéri,
    Pierre Jean Jouve, traducteur des Sonnets de Shakespeare
177

Wanda Rupolo,
    Giacomo Prampolini et la littérature française : ferments du sacré chez Pierre Jean Jouve
191

Myriam Watthee-Delmotte,
    La Toscane dans l’imaginaire romanesque jouvien
197

Éric Dazzan,
    L’Italie dans l’œuvre de Pierre Jean Jouve : la lumière des images, la figuration d’un drame métaphysique
209

Benoît Conort,
    Pourquoi pas… Dante ?
225

Laure Himy-Piéri,
    Quelques réflexions sur Jouve traducteur d’Ungaretti
233

Jean-Paul Louis-Lambert,
    Jouve et les Stigmatisé(e), une fiction détective - L’invention de « Lisbé »
249

Béatrice Bonhomme,
    Pierre Jean Jouve, la « conversion » de 1924 ou la quête du sacré : la place des mystiques italiens
265


Cahier Jouve - No 1 - 2009 - 4e de Couverture
4ème de couverturePierre Jean Jouve est né à Arras en 1887. Avant la première guerre mondiale, il subit l'influence unanimiste ; durant la guerre, il vit une grande amitié avec Romain Rolland et écrit des œuvres généreuses et pacifistes qu’il sera amené, à partir de 1921, à considérer comme inauthentiques et à renier. Le poète vient, en effet, de rencontrer la psychanalyste Blanche Reverchon qui lui découvre les abîmes de l'inconscient humain. Son oeuvre en sera définitivement marquée, car il associe aux mystères de la psychanalyse, la révélation d’une poésie d’essence spirituelle et chrétienne, développant désormais une forme de mystique érotique. Il écrit alors de hauts chefs-d’œuvre, les romans Paulina 1880, Le Monde désert, Hécate, La Scène capitale, et les livres de poèmes Les Noces, Le Paradis perdu, Sueur de Sang, Matière céleste.

Pendant la seconde guerre mondiale, certains de ses recueils, comme La Vierge de Paris montrent un fort engagement contre l’Europe nazie. Les dernières années de l’œuvre – de Diadème à Moires – proposent une écriture plus sereine à travers le paysage d’une « Chine intérieure », et permettent des lectures originales de grandes œuvres poétiques et musicales, Tombeau de Baudelaire, Le Don Juan de Mozart, Wozzeck.  Pierre Jean Jouve, mort en 1976, laisse une œuvre essentielle.

Ce premier numéro des Cahiers Pierre Jean Jouve, intitulé Jouve poète européen, donne la mesure des relations du poète avec quelques unes des grandes figures de l'Europe littéraire et met l'accent sur la dimension comparatiste de son œuvre. Il n'y est pas question de mondanité, mais on y observe comment un poète français forge da propre poétique sur l'écoute et l'intégration de l'altérité que constituent les figures différentes, et les langues diverses, ici évoquées. Certaines des évolutions les plus modernes de la poésie française, et les plus remarquées, étaient déjà présentes, très tôt, dans les traductions de Jouve.  

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Les textes de cette page © Editions Calliopées 

Dernière mise à jour : 11 avril 2012

Précédente mise à jour : 16 décembre 2010