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Décembre 2008
Béatrice Bonhomme

Pierre Jean Jouve

La Quête intérieure

Biographie

Collection « Le cercle des poètes disparus »

éditions aden - 2008

  • Les couvertures

  • « La Quête de Pierre Jean Jouve », une lecture de : Pierre Jean Jouve - La quête intérieure, par Jean-Paul Louis-Lambert

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La Quête de Pierre Jean Jouve
Une Biographie nécessaire

Une biographie de Jouve par Béatrice Bonhomme était d’une absolue nécessité. Pierre Jean Jouve a en effet un statut singulier : très célèbre chez les poètes, bien connu des musicologues, il n'est pas assez lu par les amateurs de romans et le « grand public ». Or Jouve a beaucoup mis sa propre expérience existentielle dans son œuvre, et par son écriture vive, rapide, imaginative, il appartient de plein droit à cette modernité, aussi bien poétique que narrative, qui est née en poésie avec Baudelaire et Rimbaud, et qui a été reprise en romans par Proust et Céline, jusqu'aux écrivains de l'autofiction. Mais, à partir de 1925, Jouve a soigneusement camouflé les traces autobiographiques de son œuvres, tout en reconstruisant a posteriori et tardivement « sa vie-son œuvre » pour imposer par sa maîtrise l’interprétation que le lecteur doit en avoir. Jouve a reconstruit trois fois sa vie et son œuvre à l’intention de ses lecteurs : en 1928, quand il a renié toute son œuvre parue avant 1925 ; en 1954-1956, quand il a publié En miroir – Journal sans date, sa géniale mais si partielle et partiale autobiographie spirituelle et en faisant écrire sa monographie chez Seghers par René Micha, un ami et un admirateur de quinze ans ; et de 1958 à 1975, quand il a réédité son œuvre, pas du tout complète, avec des réécritures (des coupures) parfois considérables – réédition accompagnée d’un célèbre Cahiers de l’Herne en 1972 dirigé par des amis qui ont respecté ses volonté de silence sur certaines parties de sa vie. 

Les redécouvertes de l'oeuvre reniée

On a commencé à découvrir des aspects oubliés, cachés, inconnus de la vie de Jouve – cette vie dont l’écrivain s’est tellement servi dans son œuvre – quelques années après sa disparition (1976). À Cerisy en 1980 René Micha signalait l’existence des Beaux Masques, ce texte « pornographique » et intime. En 1984, Daniel Leuwers publiait son panorama fondamental de la vie du Jeune Jouve, décrivant ainsi la « naissance d’un poète », mais cette biographie indispensable pour comprendre les « Lehrjahre » de Jouve, s’arrêtait en 1928. Or les œuvres les plus célébrées de Jouve de Paulina 1880 (1925) à Matière céleste (1936-1937) sont parues de 1925 à 1937. On peut aussi estimer qu’il y a eu au début des années 30 des événements intimes considérables qui sont le lieu originaire de l’inspiration de plusieurs œuvres géniales. En 1987, autre date fondamentale, l’exécuteur testamentaire de Jouve, le grand critique suisse Jean Starobinski, décidait d’adjoindre à l’œuvre « officielle » de Jouve de nombreux « Textes retranchés », nous donnant ainsi accès à une grande partie de l’œuvre reniée. Il nous fait ainsi découvrir de nombreuses sources – intimes, spirituelles, littéraires – nécessaires à la compréhension de l’œuvre de Jouve.

Une biographie intérieure

Il nous fallait une vraie biographie qui, sur la base de ce qu’on peut savoir d’un écrivain si secret, qui a beaucoup détruit ses archives, ou qui les a dispersées dans des lieux inaccessibles, fasse la synthèse de ce que l’on peut savoir aujourd’hui. Il fallait aussi une lecture « de l’intérieur » par une vraie lectrice, sensible à l’écriture poétique et romanesque de Jouve. Béatrice Bonhomme – qui lit Jouve depuis plus de trente ans, qui a pu s’entretenir avec des témoins et accéder à des documents inédits – nous donne aujourd’hui une somme considérable et nécessaire. Nous ne décrirons pas ici tout ce que contient ce livre si riche, qui mêle subtilement les faits biographiques et l’écriture de l’écrivain. Car Jouve est, d’abord, un écrivain que l’on doit lire seul ; ce n'est pas un « people » dont on admire les exploits médiatiques.

Enfance

Il n’empêche qu’il faut connaître la biographie de Jouve, à laquelle son œuvre fait si souvent, et secrètement, référence : le livre de Béatrice Bonhomme nous introduit d'abord à son « enfance triste à Arras » (il y est né en 1887), « vieille ville espagnole », berceau de Robespierre (Jouve s’en souviendra), entre un père colérique, une mère effacée, artiste et angoissée, et une sœur tendrement aimée. Mais chez Jouve, « enfance » veut souvent dire « adolescence », cette période qui fut si riche (si l’on ose dire) en frustrations – on sait que Jouve associera fortement le désir et la culpabilité – et aussi en dépressions cruelles et rêveries fantasmatiques. Il y a là certainement le « tuf » d’où sont sorties sa musique poétique et ses images romanesques.

Figures féminines

Il faut savoir qui sont ces figures féminines (« La Capitaine H », « La femme maternelle », Lisbé) dont Jouve nous a dit l’importance dans la création très tardive de ses mythes féminins, « Hélène » surtout. Il faut connaître le rôle des premières femmes qui ont aimé Jouve, l’ont aidé, encouragé, et même sauvé (de la dépression, des « toxiques ») : Marie Caroline Charpentier, sa future belle-mère, et Andrée, sa première épouse, grande militante féministe et progressiste.  

Engagements

Il faut connaître ses premiers amis poètes et le milieu symboliste finissant qui l’a tellement marqué. Il faut connaître ses engagements de jeunesse qui mêlent engagements littéraires (l’Unanimisme et l’Abbaye de Créteil : Jules Romains, Georges Duhamel, Charles Vildrac), idéologiques (la référence à Tolstoï), politique enfin : l’engagement pacifiste aux côtés de Romain Rolland et du graveur Frans Masereel qui ont tant compté pour lui. Jouve avait alors rompu avec ses premières lectures importantes – Baudelaire, Rimbaud, Mallarmé, Gourmont – auxquels il reviendra si violemment plus tard. Ses écrits « engagés » de l’époque ont compté pour ses contemporains (plus tard, Albert Béguin en témoignera) : pour tout un milieu littéraire le couple progressiste Pierre et Andrée Jouve « existe ».

La rencontre avec Blanche

Il est impossible de comprendre certains thèmes profondément jouviens sans la connaissance de ces données biographiques fondatrices peut-on comprendre la Recherche si l’on ignore l’homosexualité de Proust et sa fréquentation assidue des salons mondains ? Or, dans En miroir et dans ses confidences à Micha pour la monographie, Jouve a largement caché ces sources, tout en nous en donnant une version très parlante (quelques lignes impériales de Jouve suffisent à  fasciner le lecteur), mais très minimale. C’est qu’en 1921 a lieu le tremblement de terre refondateur d’un homme et d‘une œuvre : la rencontre avec la (future) psychanalyste Blanche Reverchon : elle est son aînée de plus de huit ans, elle a une double formation de philosophe et de médecin ; son intuition est « extraordinaire » (Balthus), sa conversation fascine Stefan Zweig, l’ami commun. Plus tard elle influencera Balthus et peut-être Jacques Lacan (son cadet de vingt ans), elle psychanalysera David Gascoyne, Giacinto Scelsi, Henri Bauchau (qui peut en dire autant ?). 

Mystique et psychanalyse

En 1923, Jouve surveillera la traduction qu’elle fait avec Bernard Groethuysen des Trois essais sur la théorie  de la sexualité de Freud. Dès 1922, Blanche a remis Jouve à la lecture de Baudelaire. Croyante, elle le pousse à (re)lire les grands mystiques (Ruysbroeck, Thérèse d’Avila, Jean de la Croix, François d’Assise, Catherine de Sienne). Blanche lui permet de trouver les mots pour dire ses « visions », d’affronter ses angoisses suicidaires et de voir à quel point la psychanalyse peur être une clef utile, si l’on sait s’en servir. Elle a été beaucoup plus qu’une muse, et le livre de Béatrice Bonhomme soulève un pan du voile qui plane sur cette mystérieuse création à deux. 

« Vita nuova » : ruptures et créations

Mais cette rencontre ne va pas sans drames : Jouve souffre très cruellement (dépressions, angoisses) de la séparation d’avec Andrée, épouse aimante et dévouée. La crise fondatrice sera longue : le récit qu'en donne Béatrice Bonhomme montre qu'elle dure en fait de 1921 jusqu'en 1927 ou 1928. Elle englobe cette période créatrice si nouvelle et si riche (la « vita nuova ») qui voit paraître quelques uns des plus beaux chef d’œuvre de Jouve – Noces, Paulina 1880, Le Monde désert (de 1925 à 1927-1928) – et qui prépare Hécate, Le Paradis perdu et ses traductions de Hölderlin (de 1928 à 1930). Jouve rompt non seulement d’avec Andrée (divorce en 1925), mais aussi d’avec ses amis pacifistes (donc du milieu littéraire et artistique où il était reconnu), et enfin d’avec toute sa première œuvre. Il décide de repartir à zéro (en 1928, il a 41 ans) – ou bien, c'est Blanche qui l’oblige à rompre avec tout son passé. 


Heureusement, les premiers livres de Jouve lui attirent très vite et pour longtemps de nouveaux lecteurs-admirateurs : de Jean Cassou à Jean Paulhan, de Pierre Klossowski à Gabriel Bounoure, de Rilke à Lacan, de Jean Wahl à Mandiargues, de Pierre Emmanuel à Yves Bonnefoy, de Fernand Ouellette à Salah Stétié, de David Gascoyne à Eugenio Montale et Giuseppe Ungaretti, certainement les membres du Grand Jeu (André Delons, André Rolland de Renéville), et même Charles de Gaulle : cette galaxie est extraordinaire ! Mais ce n’est pas à une « carrière d’homme de lettres » qu’aspire Jouve.
Les Années prodigieuses

Son écriture devient profondément originale. On ne le sait pas assez, mais à la fin des années vingt, Paulina 1880, Hécate, Noces dominent la production littéraire d’un temps pourtant particulièrement brillant (Mandiargues en a témoigné). Pourtant de nouvelles transfigurations, de nouveaux sommets attendent encore Jouve. Que s’est-il passé au début des années trente ? Comment Jouve a-t-il pu écrire en ces temps-là les premiers grands livres réellement inspirés (mais avec une grande distance et une grande maîtrise artistique) par la psychanalyse : Les Histoires sanglantes, Sueur de Sang (avec son avant-propos inouï : « Inconscient, Spiritualité et catastrophe »), les « Moments d’une psychanalyse », seul texte cosigné avec Blanche, La Scène capitale, Matière céleste (de 1932 à 1937). Béatrice Bonhomme donne des pistes nécessaires à la compréhension de cette période : des aventures intimes probablement et une expérience intellectuelle et sentimentale capitale avec Blanche, mais le mystère de la plus haute création reste grand. Jouve a réussi une synthèse artistique absolue : 


« Désormais la poésie jouvienne peut aborder les domaines qu’elle s’interdisait ou qu’elle n’évoquait que par allusion, comme l’inconscient et la sexualité. Jouve, dans son œuvre, met en lumière les tréfonds humains habités par de puissantes forces instinctuelles et par une terrible épaisseur psychique » (p. 95)  


 « Jouve va ainsi marier éros mystique et psychanalyse. On a pu dire avec raison que la poétique jouvienne était fondée sur une dynamique de l’éros, mais l’éros ne s’arrête pas, chez le poète, à l’érotisme humain, il est constamment mêlé à l’éros mystique ou amour divin. » (p. 94)

Mythologies 

Il n’est pas possible de détailler tout le riche livre de Béatrice Bonhomme, aussi nous ne ferons qu’évoquer certaines de ses lectures : « Éros et Thanatos en un seul acte : le mythe d’Hélène » autour de l’histoire de Lisbé où la création littéraire s’enracine dans de secrètes histoires amoureuses ; sa lecture  très personnelle des Beaux Masques (dont elle n’aime pas la froideur méprisante) ; l’arrivée de Yanick, la chaste prostituée, « cygne-signe » de l’exil vers sa « Chine intérieure ». Béatrice Bonhomme insiste sur la « quête initiatique » que sont à la fois l’œuvre de Jouve et sa lecture. Car Jouve a créé sa propre mythologie qui a fortement marqué ses lecteurs. Il y a d’abord ses mythes féminins (et c’est surtout sur eux que nous avons insisté précédemment), mais il y a aussi le Labyrinthe et les paysages magiques (érotiques) qui l’ont tant marqué et qu’il a su rendre comme personne dans ses poèmes et ses romans : la Toscane, la Suisse italienne et l’Engadine (où il n’y a pas eu que Nietzsche et Rilke, la concurrence se situe au plus haut niveau !). Chez Jouve, rappelant le « masque de la beauté chez Baudelaire », le travail formel vers la beauté est aussi d’essence psychique et mythologique. Sa recherche d’une poésie qui soit « musicale » est mise strictement en parallèle avec la recherche d’une essence religieuse. 


Comme d’autres poètes de son temps (singulièrement les Surréalistes, Breton, Éluard), les recueil de poèmes de Jouve sont de beaux objets soigneusement typographiés et mis en page, avec des sommets obtenus par sa collaboration avec l’artiste tchèque Joseph Sima et le poète-éditeur-typographe Guy Lévis Mano. 

Musique, peinture, révolution

Jouve a aussi été un grand critique.  Musical, d’abord : il a connu Salzbourg avec Stefan Zweig (et Blanche Reverchon) et son Don Juan de Mozart est reconnu par les musicologues (et Olivier Messiaen), son Wozzeck d’Alban Berg (avec Michel Fano) est aussi un classique de la grande lecture d’une œuvre musicale, et Jouve avait assisté à la création du « Concerto à la mémoire d’un Ange ». Mais là aussi Béatrice Bonhomme doit remonter à l’enfance du poète pour nous faire comprendre où s’enracine cette passion. Critique d’art ensuite : ses écrits sur Balthus sont fondamentaux, mais Jouve doit aussi beaucoup à la peinture italienne qu’il a connue sur place très tôt, et il avait été l’ami de peintres cubistes (Gleizes, Le Fauconnier), puis expressionnistes (Masereel). Pendant la seconde guerre mondiale, il a commenté les révolutionnaires et leurs peintres (Delacroix, Courbet) : c’était sa façon de s’opposer à la « révolution nationale » pétainiste.

La Quête intérieure de Jouve

Mais lire Jouve, c'est aussi participer à la quête intérieure de l'écrivain. Ce qui n'est pas simple aujourd'hui où les valeurs religieuses ne sont plus à la mode chez nos contemporains.  Or : 

« Pierre Jean Jouve déclare une foi religieuse tâtonnante qui ne s'accorde que rarement avec le dogme »

aussi cet écrivain, qui baigne dans la psychanalyse et l'érotisme, n'est guère reconnu comme « écrivain catholique », comme le sont Bloy, Péguy, Claudel, Bernanos, Mauriac, grande lignée d' « imprécateurs » alors qu'il devrait (aussi) appartenir de plein droit à cette lignée, même si c'est dans ses marges (comme d'habitude chez lui), et comme ses héritiers Pierre Emmanuel et Jean-Claude Renard. Jouve affirme son attachement au christianisme. Il lit, traduit et paraphrase les grands mystiques italiens et espagnols.  Béatrice Bonhomme explore ce chemin difficile entre la foi et la poésie :

« Dans la modernité, l'accent est porté sur l'existence comme incarnation, temporalité. Or chez Jouve, coexistent d'une certaine façon le questionnement chrétien d'une trancendance et le questionnement d'une immanence au monde. »

et elle lit sa lecture des mystiques, lecture prise entre foi religieuse et sensualité, entre exaltation et goût pour le sang versé, comme Paulina lisait Catherine, la stigmatisée de Sienne. Avec François d'Assise, Ruysbroeck, Thérèse d'Avila et Jean de la Croix, c'est plus proprement d'écriture qu'il s'agit, écriture de l'Incarnation et du Symbole, quête du Tout, du Nada et du salut.  

La pensée de Jouve est-elle réellement celle d'un mystique ou d'un poète cherchant à s'affronter et dire l'ineffable ?  Sa foi n'est pas orthodoxe, aussi il est normal de poser la question d'un parallèle entre la quête de Jouve et celle des gnostiques, qui n'aimaient pas le monde où ils vivaient et refusaient le dogme de l'Incarnation. Jouve n'a-t-il pas trop chanté le Corps pour être un vrai gnostique ?  On peut aussi considérer que les relations de Jouve avec deux philosophes, Schopenhauer et Kirkegaard, auxquelles Béatrice Bonhomme consacre sa dernière partie,  relève en fait de la même problématique.   

Enfants mystérieux

Mais après (au avant ?) les mystiques, il y a les « poètes intercesseurs » que Jouve s'est choisis comme ses prédécesseurs (comme Jean le Baptiste annonçait Jésus ?) : Hölderlin, dont il a traduit « les poèmes de la folie » avec Pierre Klossowski à la fin des années 20 ;  Baudelaire, sur lequel il a écrit un « Tombeau » d'une grande finesse au début des années 40 ( complètement réécrit par la suite) et qu'il cite constamment ; Mallarmé, celui qui lui a fait découvrir ce qu'était la poésie.  

« Cette poésie, comme équivalent d'une religion à mystères, accessibles aux seuls initiés, a pour but de révéler un secret profondément enfoui de l'âme humaine. L'obscurité qu'on lui reproche ne tient pas à sa à sa nature propre qui est d'éclairer mais à la nuit elle-même qu'elle explore et qu'elle se doit d'explorer, celle de l'âme elle-même et du mystère où baigne l'être humain. »

Jean-Paul Louis-Lambert

Janvier 2009

 Liens internes au Site Jouve 


Bibliographie critique


Hommages et Créations

Liens externes


Liens avec les Éditions Aden

  • La revue Europe a publié une critique par Marie-Claire Bancquart sur le Pierre Jean Jouve de Béatrice Bonhomme dans son numéro 961 (mai 2009). 

  • La note de François Lallier sur Pierre Jean Jouve - La Quête intérieure sur le site remue.net

  • La lecture par Aude Préta-de Beaufort de Pierre Jean Jouve - La Quête intérieure   sur le site de Fabula

  • La lecture de Pierre Jean Jouve - La Quête intérieure par Tristan Hordé sur le site Poezibao

  • L'Editorial du Magazine Littéraire de février 2009 par Joseph Macé-Scaron

  • La Quinzaine Littéraire du 1er mars 2009 a publié « Dévouées au poète », un article de Marie Étienne sur l'ouvrage de Béatrice Bonhomme. 

  • Le coup de coeur de Michel Lagrange sur le site du Centre régional du livre de Bourgogne.

4ième de CouvertureBéatrice Bonhomme - Jouve - Aden - 4eme de Couverture
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Sous la Responsabilité de Béatrice Bonhomme et Jean-Paul Louis-Lambert

Les textes de cette page © Béatrice Bonhomme et Éditions Aden – Jean-Paul Louis-Lambert


Dernière mise à jour : 5 février 2013